Les Prophéties (texte littéral)

de NOSTRADAMUS

Les Prophéties nous sont parvenues grâce à des centaines d’éditions, la complexité de la langue de Nostradamus (mélange de français, de latin et d’occitan), ayant conduit à toutes sortes de traductions, sans compter les interprétations plus ou moins hasardeuses qui en sont tirées.

Pourtant, aucun essai ni aucune interprétation n’en remplacent la lecture, confrontation obligée avec le texte authentique.

Plusieurs éditions ayant été considérées comme piratées ou antidatées, il est généralement admis que l’édition qui porte la date de septembre 1557 fut réellement publiée du vivant de Nostradamus. Les éditions suivantes du texte des Prophéties amplifient en effet les erreurs typographiques et autres coquilles, tout comme les ajouts et textes apocryphes.

Afin de préserver la qualité du texte, cette version ne se veut en aucun cas une traduction (et encore moins une interprétation !), mais une transcription littérale du fac-similé de l’édition de 1557

Deux ouvrages complémentaires, également édités par AlterPublishing, présentent : le fac-similé de l’édition de 1557 et la transcription modernisée de cette édition.

Visitez notre site dédié ici.

ISBN : 979-8416018405

NOSTRADAMUS

Michel de Nostredame, appelé Nostradamus, né le 14 Décembre 1503 à Saint-Rémy-de-Provence est mort le 2 Juillet 1566 à Salon-de-Provence.

Apothicaire français, adepte de l'astrologie comme, à l’époque de la Renaissance, tous ses collègues, il publie de célèbres prédictions, les Prophéties.

Elles contribuent à sa renommée au point que la reine Catherine de Médicis l'appelle à la cour et le nomme médecin et conseiller du roi.

Nostradamus fut l’un des médecins les plus estimés de son époque : pendant des années, il parcourut la Provence pour y soigner de nombreux malades. Pour se préserver de la peste, Nostradamus avait préconisé l’utilisation d’une « poudre de senteur souveraine pour chasser les odeurs pestilentielles », un médicament prophylactique à base de plantes.

En 1546, une délégation de la ville d'Aix vint le trouver pour aider leur cité décimée par la peste et les sauver du « charbon provençal ». Et dans tous les lieux où éclatait une épidémie, il a été réclamé, comme à Lyon en 1547 ou dans les contrées où des épidémies étaient signalées.

© 2021 AlterPublishing. All Rights Reserved.